Catégories : FETICHISMES au pluriel Enema Lavement / Médical
il y a 9 ans
Alex avait horreur des hôpitaux. Il en gardait une image très négative suite à une intervention chirurgicale quelques années plus tôt. Il fallait sans cesse attendre, sans rechigner bien sûr, radiologues, anesthésistes, chirurgiens et autres spécialistes pour qui les horaires donnés n'étaient que purement indicatifs. Le patient n'avait qu'à patienter. Il était à leur merci. Son voisin de chambre lui avait expliqué le côté habituel de cette situation par une simple devinette :
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Quelle est la différence entre un chirurgien et Dieu ?
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Dieu, lui, il sait qu'il n'est pas chirurgien.
A peine avait-il admis cet état de fait, qu'il s'était enfoncé un peu plus bas sur le chemin de la déshumanisation, pour être réduit au "rein de la 207" que "le Professeur" exhibe à toute une cohorte d'internes et d'étudiants lors de la visite matinale, sans jamais lui adresser directement la parole. C'est pourquoi, il ne s'était pas précipité cette fois-ci. Il avait attendu que les douleurs abdominales deviennent insupportables pour appeler les pompiers qui l'avaient conduit aux urgences. Au début, il s'y était opposé, mais ils avaient fini par le convaincre. S'il faisait une péritonite, cela pouvait vite devenir grave.
Il avait été installé sur un brancard dans un box individuel froid au possible, tant par la température que par la décoration murale quasi inexistante. Il aurait pourtant eu le temps de l'admirer depuis les bientôt 80 minutes qui se sont égrénées tout doucement sur la trotteuse de l'horloge murale qui lui fait face. Il n'a rien d'autre à faire qu'à écouter sa douleur. Enfin, deux femmes entrent. La première, d'une quarantaine d'années, porte un badge d'infirmière. Elle prend la parole :
- Monsieur Alex B., 42 ans, amené par les sapeurs pompiers à 16:20. Se plaint de douleurs récurrentes au ventre, avec des épisodes fulgurants très vifs. Pas d'antécédents hormis une intervention chirurgicale au rein en 2008. Aucun traitement en cours.
L'autre femme, qui paraît à peine sortie du lycée enchaîne.
- Bonjour Monsieur, je suis Corinne D., interne en médecine. Je vais vous ausculter.
Alex répond machinalement aux questions de la jeune femme qui entreprend de lui palper le ventre. Il est subjugué. On ne devrait pas laisser d'aussi jolies filles faire ce métier. Ses mains sont si douces, sa voix si charmeuse. Il se sent rajeunir de vingt ans, mais surtout il a du mal à retenir une réaction naturelle au niveau de l'entrejambe. Il a peur qu'elle remarque son trouble. Ses joues aussi doivent le trahir en rosissant.
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Monsieur, je n'ai pas compris votre réponse !
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Euh, excusez-moi, vous pouvez répéter votre question ?
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Votre douleur irradie-t-elle quelque part ?
Le voilà bien. Il est évident qu'elle a tout compris. Il faut dire qu'ayant déboutonné son pantalon et palpé son ventre un peu plus bas, elle n'a pas pu ne pas remarquer la protubérance quelques centimètres plus bas... Pourquoi cette question, juste pour le mettre encore plus mal à l'aise ?
- Et bien, comment dire, j'ai aussi un peu mal à, aux, aux testicules...
Ce coup-ci, il doit être pivoine. Elle doit prendre plaisir à mettre mal à l'aise des messieurs bien plus âgés qu'elle cette fille ! Vivement que tout cela soit fini !
- Rien de grave, rassurez-vous Monsieur. Tout cela est bien tendu...
Mais ce n'est pas vrai, elle en rajoute !
- ... je vous prescris un léger laxatif pour le ventre à prendre en arrivant chez vous et un relaxant contre le stress dont voici un premier comprimé à prendre maintenant. Uniquement des médicaments à base de plantes. Attendez encore 1/2 heure qu'il commence à faire effet et vous pourrez partir. Voici votre feuille de sortie.
Les deux femmes repartent vers un autre patient. Mais la jeune interne se ravise et s'approche de nouveau vers Alex à qui elle glisse à voix basse.
- Si vous êtes adepte des techniques naturelles, venez me voir en partant dans la chambre réservée aux internes, au bout du couloir. Je termine justement ma garde à 19h.
Il n'a pas le temps de réaliser qu'elle est déjà repartie.
A 19:05, Alex toque discrètement à la porte indiquée. Elle s'entrouvre et il se glisse discrètement. La petite pièce ne contient qu'un petit lit une place, un petit bureau, une chaise, une armoire métallique et un lavabo. Elle n'est éclairée que par la lampe de bureau diffusant une lumière tamisée. L'interne le repousse doucement contre la porte. Elle a juste déboutonné sa blouse laissant apparaître un ensemble en dentelle blanc et des bas auto-fixants de la même couleur. Sans plus de préliminaire, elle se colle à lui déposant un baiser contre sa bouche. Elle ne lui laisse pas le temps de réagir qu'elle déboutonne sa chemise, ses lèvres courrant le long de son menton puis sur son torse. Sa bouche s'approche de son nombril tandis qu'une de ses mains se glisse entre ses cuisses pour soupeser doucement ses bourses.
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Espèce de Don Juan, tu n'as pas honte de séduire les jeunes femmes médecins dans l'exercice de leur fonction ?
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C'est de votre faute : il ne faut pas être si belle, ni avoir des mains si douces.
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Tatata, la plupart du temps, quand j'ausculte un homme, ça a l'effet strictement inverse, comme s'il avait peur que je lui pose une sonde...Mais revenons à toi : en fait, ce que je n'ai pas osé te dire tout à l'heure, c'est que si la douleur irradie jusqu'à tes boules, c'est sans doute parce qu'elles n'ont pas servi depuis trop longtemps !
Il n'a pas le temps de confirmer ni de démentir : elle a ouvert sa braguette et fait glisser son pantalon et son caleçon par terre. Son pénis est fièrement dressé, gonflé à lui faire mal. Elle le décalotte, puis ouvrant grand sa mâchoire, elle le prend en bouche aussi loin que possible et commence aussitôt de lents va et vient. Accroupie, elle écarte les cuisses avec indécence et glisse une main sous la dentelle de sa culotte. Elle prend manifestement beaucoup de plaisir à son ouvrage. Elle accentue ses caresses buccales au fur et à mesure qu'elle sent son plaisir monter. De sa main libre, elle caresse aussi doucement ses testicules. Alex est partagé entre la douleur et son plaisir qui monte. Les deux se mêlent pour ne plus former qu'un seul ressenti. Il va venir, il a l'impression que son sperme sera plus abondant que jamais. D'une légère pression sur les cheveux de Corinne, il veut l'enjoindre d'arrêter, mais à l'inverse elle accentue les mouvements de ses lèvres et de sa langue laissant échapper des gémissements de plaisir. Elle le laisse venir dans sa bouche et avale au fur et à mesure le liquide épais de sa semence. Quand elle se redresse un grand sourire aux lèvres, elle reprend un ton médical.
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Voilà, ainsi décongestionnées, tes boules ne devraient plus te faire mal !
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Merci docteur !
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Mais je compte sur Don Juan pour continuer à me donner du plaisir dès qu'il aura récupéré
Elle se recule. Se débarrasse de sa blouse et de son soutien-gorge et s'allonge sur le côté au fond du lit. Alex la rejoint. Le lit est si étroit qu'il est tout contre elle. Il s'écarte légèrement pour admirer sa poitrine. Le contraste entre des seins assez menus et ses tétons dardés l'hypnotise. Il se décale un peu plus bas pour pouvoir les titiller de la langue, les coincer entre ses lèvres et les pincer légèrement entre ses dents. Les caresses de Corinne sur sa nuque l'encouragent à poursuivre. Il sent déjà son membre reprendre de la vigueur.
Il glisse encore plus bas. Il fait glisser le morceau de dentelle humide du plaisir de l'interne. Il passe avec sensualité les doigts entre ses poils pubiens et lui fait passer une jambe autour de son torse pour pouvoir glisser son visage entre ses cuisses. Il se délecte de l'odeur de sa mouille. Il passe sa langue contre sa fente entrouverte pour la goûter. Tantôt, il roule la langue en "U" pour la plonger le plus loin possible dans son vagin, tantôt il la rend la plus plate possible pour bien laper toute la largeur de sa fente, qu'il maintient ouverte de ses doigts, jusqu'à son clitoris. Il se laisse guider par le chant des gémissements de la belle, découvrant les caresses qu'elle apprécie le plus.
Corinne se dégage et s'assoit au bord du lit. Elle attr a p e un préservatif du tiroir du bureau et le pose en un tournemain en chuchottant avec un grand sourire.
- Il est bien normal que l'hôpital donne l'exemple en matière de prophylaxie !
Puis elle s'installe à quatre pattes sur le lit, cuisses bien écartées lui offrant son postérieur.
Alex fait glisser sa queue de haut en bas depuis sa raie jusqu'à son clito, prenant plaisir à la faire patienter. Il aime sentir Corinne reculer par à coups ses fesses, cherchant à hâter la pénétration.
Quand enfin il la pénètre, il la prend vigoureusement, en puissants va et vient. Il s'accroche à ses hanches. Il aime le frottement de ses bas blancs contre ses cuisses. Ces bas lui rappellent le vieux fantasme de l'infirmière, mais c'est encore mieux avec une jeune interne. La jeune femme se démène, venant à sa rencontre pour accentuer les mouvements. Il se penche en avant pour attraper ses seins. Il passe ensuite une main sous son ventre pour chercher son clitoris. Enfin, il passe un doigt dans sa raie et masse doucement son anus. L'effet est immédiat. Elle étouffe un cri en mordant dans les draps tandis qu'il jouit en elle.
Quand il se remémore la scène en quittant l'hôpital une demi-heure plus tard, il se dit que tout compte fait, l'état de patient peut parfois devenir enviable...
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